Archive | octobre 2013

Cassé…

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Oui ma poulette, c’est cassé.

Comme ta petite dent, là, cette incisive gauche qui ne demandait qu’à rester entière jusqu’à ce qu’elle tombe, un jour, pour laisser la place à une dent définitive…

Samedi soir, nous étions chez nous, soirée raclette avec 2 couples d’amis, et leurs enfants. Chacun un petit gars, le même prénom, 2 caractères différents. L’un, ton petit cousin, turbulent mais gentil, qui joue avec toi, qui te dit « tontion bébé » (attention bébé) et qui dit « oh! » quand tu tombes. L’autre, turbulent, mais pas bonne pâte, qui t’arrache les jouets des mains, qui te pousse, qui vérifie si on le surveille pour faire ses coups en douce. Vous dire que Monsieur Papa et moi sommes tranquilles c’est vous mentir. Mais les parents de l’infernal sont sévères, ils veillent, grondent, fort, et tout se passe plutôt bien. Même si je sens mon cœur se briser quand tu pleures subitement car ton nounours est malmené. Je gronde aussi, il te le rend, me lance un regard noir tandis que ton petit cousin (le gentil) te fait un câlin.

Et puis, à l’apéro, je file fumer une cigarette sur le balcon, et là, hop, tu te renverses un verre de jus de fruits sur ta robe. Pas grave, je monte vite te changer. Monsieur Papa grogne…

Et puis on mange, on rit, les gamins donnent surtout à manger au parquet tandis que ma fille distribue des miettes de pain à qui veut bien les prendre (je précise : après avoir mangé son repas, je n’affame pas ma fille).

Et puis je re-file fumer une deuxième cigarette, tout le monde papote, les enfants jouent. Et là, le drame………,Mademoiselle V en pleurs dans les bras de Monsieur Papa. Elle « galopait » à 4 pattes poursuivie par les 2 petits gars qui rigolent, elle aussi elle riait. Et tombe bouche ouverte sur le parquet. Ses petits bras pas assez alertes? Pas assez coordonnés en mode « course »? Bilan : une incisive cassée. En biais.

La soirée se termine, c’est la faute à pas de chance. Tout le monde préfère s’éclipser, les enfants sont fatigués, la mienne ne pleure plus mais son papa cherche un coupable. Ce sera moi : « chaque fois que tu es partie fumer, elle a fait une connerie ! Tu pouvais quand même mieux la surveiller, non? » …………….. Lui ai quand même rétorqué : « quand je m’absente il arrive une couille à notre fille, tu pouvais peut-être, toi, mieux la surveiller? Ou peut-être admettre que là, c’est la faute à pas de chance? Qu’aurais-je pu faire pour éviter qu’elle tombe? Où étais-tu, toi? A table? Servant du vin? Où aurais-je été? A table? Desservant les plats? Faisant le café? »

Appel à 23H à une amie médecin qui me répond de suite « si elle ne saigne pas/plus, que la dent ne bouge pas, qu’il n’y a pas de coupure, tu attends lundi et tu prends rdv chez un dentiste, ne t’affole pas ».

Voilà. Le dimanche fut pourri. Le lundi aussi. La dentiste qui a examiné Mademoiselle V a simplement acté qu’il manquait 25% de la dent, que ce n’était pas grave, que la gencive n’était pas touchée, qu’elle tomberait un jour comme toutes les autres pour être remplacée par la « bonne dent », que le bourgeon de la dent définitive est encore trop haut pour avoir été abîmé, qu’un abcès peut se former mais qu’elle n’y croit pas (1% de « chance » que cela arrive), que le cas échéant je dois revenir, que le souci est juste esthétique (quand elle rit aux éclats sinon on ne voit rien), qu’il faut se dire que c’est un accident très courant (1 enfant sur 2), que nous devons déculpabiliser car personne n’aurait pu l’empêcher de tomber comme ça, et qu’elle est juste un peu casse-cou et qu’elle fera sans doute attention la prochaine fois.

Je retiens notamment que même absente je suis coupable……… Que cette fois encore même sans chercher à me blesser, Monsieur Papa y est parvenu. Qu’il pense que je m’en fiche parce que je relativise et reste à peu près zen, et que je ne soulève pas la lèvre de ma fille pour montrer sa dent à tout le monde (dans le but de la rendre honteuse de quelque chose qu’elle ne comprend pas??? Je ne comprends pas pourquoi il fait ça).

Hier soir nous avons eu des mots durs l’un envers l’autre. Cette nuit il n’a pas cherché à me prendre dans ses bras. Et ce matin avant de partir pour Paris il n’a pas cherché à dialoguer calmement. Alors, quand il m’appelle ce midi pour me dire qu’il m’emmène avec lui la semaine prochaine, 3 jours, laissant notre fille à sa sœur pour que nous soyons seuls, à Paris, pour nous retrouver, j’avoue que je ne comprends pas trop. Sa façon de s’excuser, je suppose… Ou sa technique toute masculine pour me dire « je ne veux pas que nous nous perdions »?

En attendant, oui, j’ai pleuré sur ce petit bout de dent qui manque, que beaucoup ne verront pas, mais qui me hante dans mes rêves depuis samedi.

Ma poulette…. Un jour je t’expliquerai qu’il ne faut pas courir devant les garçons. Ni derrière…….

Rencontre du 3ème Type…

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Il était une fois…un Monsieur Papa qui voulait accompagner MOM à la visite chez le pédiatre de Mademoiselle V.

La pédiatre, Docteur S. , est, comment dire…une petite madame qui doit avoir la soixantaine, un peu bobonne, qui s’habille chez Daxon et Damart, mais collection vintage et en solde. Des yeux bleu délavés, une voix si douce que même le parquet de son cabinet n’ose grincer de peur qu’on ne l’entende pas.

Chaque visite s’est bien passée, même si elle aime  donner des conseils qui semblent tomber sous le sens, et ne pas écouter la réponse « mais je le fais déjà » (ça, c’est irritant, mais je m’y suis faite). Mais hier tout ne s’est pas passé comme d’habitude…….

RDV à 15H. Dans la salle d’attente : personne. De fait, elle est ponctuelle, jamais d’attente. Monsieur Papa est content. Sauf qu’à 15H20 le RDV suivant entre dans la salle d’attente, et nous, nous y sommes toujours. Mademoiselle V qui n’a donc pas fait de sieste (récupérée chez la nounou à 14h30) dort dans les bras de son papa qui râle car il a chaud…avant de râler car elle se réveille et se met à pleurer.

15H40, enfin nous entrons, après qu’une maman accompagnée de ses 3 petits soit sortie en riant que c’est de sa faute si nous passons en retard (ce qui évidemment ne fait pas rire Monsieur Papa).

Monsieur Papa qui ne s’assoit pas, qui tourne en rond dans le cabinet car sa fille pleure à chaudes larmes : fatigue, contrariété. Le schéma classique. Habituellement, je gère seule, en parlant doucement et en la berçant. Sauf que son papa semble préférer la méthode « je parle fort pour te demander de te calmer » (vous imaginez déjà pointer ma honte?).

Mademoiselle V. joue par terre avec les cubes, les balles, mais ne veut pas se lever, elle râle quand son papa veut la mettre debout, crie quand il essaie de l’intéresser à un autre jouet…..tandis que moi je me sens défaillir.

Docteur S. insiste à voix basse « asseyez-vous Monsieur, Madame va dévêtir Mademoiselle V, il faut parler doucement aux enfants » (vous comprenez déjà que le Docteur S. fronce les sourcils?). Évidemment il ne s’assied pas, insiste pour m’aider à la déshabiller alors qu’il me gêne. J’évite la scène devant le Docteur S. mais je me sens subitement comme un rat de laboratoire que l’on observe (vous visualisez le Docteur S. qui nous regarde, la moue désapprobatrice ?).

Mesures diverses, c’est encore gérable. Puis examen des oreilles, et là le drame (ma fille a horreur de ça). Elle pleure, crie, se débat. On s’y met à 2 puis à 3 pour la maintenir. Je suis en nage. Monsieur Papa est rouge. Comme Mademoiselle V. Et là, le Docteur S. nous regarde et dit « vous êtes embarqués sur un mauvais chemin d’éducation, elle fait d’énormes caprices et des colères inacceptables, vous devez briser ce cercle vicieux et arrêter de l’y encourager » (vous devinez ma colère teintée de gêne?).

Moi : « c’est ce que je dis souvent à Monsieur Papa, d’ailleurs quand je suis seule avec elle, cela se passe mieux, en général » (vous comprenez le regard du Docteur S. qui se souvient qu’habituellement oui ça se passe bien? Et que dans cette maison le papa n’en fait qu’à sa tête?).

Lui : « pas vrai, faut arrêter de me dire ça, vous vous y mettez tous »

Docteur S. : « vous ne devez pas la laisser tout faire, Monsieur, elle sait avec qui elle peut se le permettre, mais vous devez cesser ».

Je vous fais grâce de tout le dialogue, nous ne sommes même pas parvenus à la faire marcher, alors qu’elle adore ça, elle s’asseyait en hurlant, en larmes, tapant des pieds et des poings, de colère. On a fait un vaccin, elle dans les bras de Monsieur Papa alors que précédemment je l’allongeais sur la table d’examen, avec les jouets. Monsieur Papa a posé mille questions, toutes les plus débiles (car il n’écoute pas quand je réponds à ses interrogations, je passe donc devant le Docteur S. pour une maman qui ne sait rien et ne fait rien).

Au bout de 30 minutes, le carnet de santé est rempli avec en bas de page « colère ++ caprices ++ »……………………..

Conclusion de Monsieur Papa : c’est un bon médecin juste parce qu’elle a donné une ordonnance longue comme le bras, avec des antibiotiques (elle a un rhume et un début d’otite : merci le brouillard), des granules homéopathiques (pour la colère….), du spray nasal au cas où, etc.  Mais pas un bon médecin car elle dit que sa fille fait des caprices à cause de lui.

Ma conclusion : je n’irai plus jamais chez la pédiatre avec Monsieur Papa.

Pour me venger, j’ai acheté une voiture (vue dimanche sur le bon coin, dans notre garage depuis ce midi, à côté de celle de Monsieur Papa). Na !!!

Et la lumière…

FUT !!!

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Vendredi 11 octobre 8h45. Nous sommes à Lille. Une demi-heure d’avance pour le rdv avec le Professeur P. du CHR de Lille. Nous avons anticipé les embouteillages du périphérique de Lille. Nous avons déposé Mademoiselle V chez sa nounou à 7h ce matin. Nous n’avons pas petit-déjeuné, nous avons l’estomac dans la gorge, la gorge nouée, un nœud dans le cœur…

9h15 : heure du rdv. D’autres personnes sont appelées, pas nous.

9h45 : nous voyons passer et re-passer le Professeur P., prendre un dossier, appeler une dame âgée, puis un monsieur au pantalon trop court.

10h : Monsieur Papa n’y tenant plus, il va demander à la secrétaire pourquoi tant de personnes sont appelées et pas lui, alors qu’il était le second rdv du Professeur P. Sa tête change de couleur : elle s’est trompée de bannette et d’étiquette…Pour le Professeur P. le rdv de Monsieur Papa a été annulé puisqu’il n’est pas là……… Ben si il est là !!!! Et nous sommes deux à mourir de trouille !!!!!

10h15 : on nous propose d’attendre dans le bureau du Professeur P, il va arriver, il donne un avis chez son assistant, juste à côté. Une autre secrétaire tente de nous faire passer le temps en classant les analyses de Monsieur Papa et en les commentant. Je sens que je vais l’étrangler, elle a dans les mains les résultats des 2 bili-IRM et des 4 biopsies faites le 16 septembre….

10h30 : le Professeur P. entre, nous serre la main, nous salue. Il semble tendu. Ne parle pas. Agite la souris sur son bureau, relit les conclusions qu’il est seul à voir sur son écran, il fait défiler les imageries médicales, au fond de moi j’ai le cœur qui va exploser, et je me dis qu’il essaie de trouver une façon de nous dire que Monsieur Papa est foutu.

10h32 : « bon, et bien contre toutes attentes, c’est une HNF (hyperplasie nodulaire focale), c’est totalement bénin ! Pas de cancer, même pas un adénome (tumeur bénigne) à enlever, tout va bien »……………………………….. Et là, je sens une énorme chape de plomb qui s’enlève de mes épaules, de celles de Monsieur Papa qui, à côté de moi, n’a pas lâché ma main……

« Pour rassurer les patients on propose de faire une écho et un IRM l’année suivante, mais vous n’avez rien à craindre, même si l’HNF change de volume et de formes, c’est bénin, une anomalie, une curiosité qui prend parfois l’aspect d’un adénome ou d’un carcinome, ou d’un angiome, d’où la nécessité de procéder à une biopsie. Je vous avoue que j’étais davantage persuadé d’être face à un adénome à ôter, voire un carcinome. C’est une bonne nouvelle! »

Tu parles Charles……

Voilà, c’est fini, cette page là se tourne, nous pouvons reprendre le cours de notre vie, râler pour rien, nous engueuler pour tout (ça n’a pas traîné, j’y reviendrai dans un prochain post).

Sommes rentrés, et après le bain et la mise au lit de Mademoiselle V, nous avons fêté cela tous les deux, un plateau de fruits de mer sur la table du salon, Thalassa à la télé, et la sensation d’être redevenus des humains ordinaires……

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Prix Citron.

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« Événement mondain parisien toujours très attendu à partir des années 1950, le Prix Citron est décerné chaque année à une célébrité réputée pour son supposé mauvais caractère. Ont notamment été distingués :

Depuis 1981, il est attribué aux seuls joueurs de tennis professionnels dont « la personnalité forte en zeste et en caractère » se distingue particulièrement sur le circuit. La connotation péjorative de ce prix s’est beaucoup estompée avec ce « Prix Citron nouveau ». »

Moi je vais décerner mon Prix Citron et selon mes critères:

  • se fiche pas mal du ressenti d’autrui et brandit sa façon de penser, de faire, de réagir comme étant la seule possible et imaginable
  • fait semblant de vous écouter pendant 5 secondes pour ensuite détourner la tête et entrer dans la conversation des membres de sa famille ou celle de ses amis (vous ne faites partie ni de la 1ère catégorie ni de la seconde), vous plantant donc là, la bouche ouverte sur un mot qui reste en suspend, tout comme le reste de votre phrase que vous gardez pour vous.
  • passe sa vie à se mêler de la vôtre, organise des déjeuners, des goûters, des apéros, des dîners, sans vous demander une seule fois si vous, vous êtes libre, puisque l’important est que Monsieur Papa le soit (oui, vous, vous n’avez aucune vie privée et rien prévu).
  • se targue de vouloir sans cesse voir votre petite fille, lui voue un culte malsain (ne vous dit-elle pas qu’elle considère votre fille comme la sienne?) MAIS a systématiquement des tas de choses à faire quand vous espérez aller au ciné ou au restau avec votre cher et tendre, et donc avez besoin d’elle pour du baby-sitting.
  • vous ignore totalement quand il s’agit de vos principes d’éducation, et dit sans vergogne « nous ferons ça quand elle sera plus grande », rappelée (merci) à l’ordre par son mari qui lui révèle qu’elle n’est pas la mère de l’enfant….et que ce n’est pas à elle de décider pour nous.
  • achète des tas de trucs très chers et parfois inutiles, sans vous consulter, sans savoir si vous n’avez pas déjà acheté un truc similaire, si vous n’aviez pas le désir de l’offrir vous-même.
  • déclare alors que vous annoncez à toute la famille que cette année, Noël, c’est chez vous (afin de pouvoir inviter votre famille à vous, pour qu’ils voient eux aussi leur petite-fille en ces jours de fête de famille alors qu’ils en ont été privés l’an dernier) : « ah? pourquoi on ne le fait pas chez moi comme prévu? il n’y a pas assez de place chez vous » (prévu car un an sur deux c’est chez eux, l’année suivante chez mes BP, mais c’était AVANT…moi aussi j’ai des parents). On appréciera…ou pas. Surtout que c’est revenu dans la conversation hier et qu’elle n’a toujours pas compris le pourquoi du comment….
  • râle que nous n’habitions pas dans le quartier qui nous permettrait de mettre Mademoiselle V dans son école, le jour où elle y entrera. Sauf que son école est dans un quartier pas sympa, et que derrière chez nous il y en a une super, d’école, et que ma fille y ira, point barre !
  • râle que nous ne vendions pas l’appartement situé à 10 minutes à pied de la mer, à 3 minutes à pied de la future super école de ma fille….pour acheter une maison dans sa rue (2 y sont en vente ce jour). Le pied, ma BS au bout de mon jardin…..

Je tente de me raisonner, de me dire que j’ai les nerfs à fleur de peau, que j’exagère sans doute. Et puis, non, quand Monsieur Papa me dit ce matin qu’il voit bien que tout cela me pèse et qu’il me remercie d’être aussi patiente et diplomate….notamment avec sa sœur…quand mon beau-frère lance à sa femme que des enfants, ils en ont 2 et que Mademoiselle V n’en fait pas partie, qu’elle a des parents, et que ce n’est pas eux, puis qu’il me lance un clin d’œil en ajoutant « on est des pièces rapportées, toi et moi, ça fait 30 ans que je le vis »… Je me dis que je n’exagère pas, que je ne suis pas intolérante, que je ne vois pas le mal partout.

Très honnêtement, c’est le point « vous écoute 5 secondes puis vous fait comprendre que ça l’emmerde en quittant la conversation alors que vous êtes au milieu d’une phrase » qui m’irrite le plus pour le moment. Ma chère BS, tu commences sérieusement à me courir sur le haricot.

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J’ai déjeuné près des voiliers…

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Et surtout… J’ai déjeuné avec Tatafloute !!!

Je suis heureuse d’avoir pu mettre un visage, une voix et un sourire sur ce pseudo qui m’avait interpellée il y a plus d’un an, au détour d’un commentaire, sur un blog. De fil en aiguille, des similitudes, des points de convergence, et depuis le récent déménagement de Tatafloute et de sa famille : Le Tigre et Potam, nous étions presque voisines !

Si au moment où j’écris le ciel s’obscurcit, tout à l’heure il faisait beau et l’air était doux. Un beau soleil sur le quartier portuaire de Dunkerque, près des bassins où dorment les voiliers.

Nous avons parlé de tout, de rien, de nos enfants, de nos hommes, de nos vies, il y a tant et tant à dire et partager. Je n’ai pas vu le temps passer, j’avais la sensation que ce serait simple, et ce le fut 🙂  Nous n’avons pas pu manger dehors, ce n’est plus la saison, mais nous avions une table près des fenêtres, et la vue est belle (enfin, moi je ne m’en lasse pas). Ce fut un moment réellement très agréable, et nous aurions pu y passer toute l’après-midi si nous en avions eu le temps.

A refaire…en attendant peut-être de se faire se rencontrer nos deux loustics, pour une balade en bord de mer et faire des châteaux de sable (ou pas) 🙂

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danslacuisinedesophie_steacktartare2 Et nous avons mangé une des spécialités de la maison : tartare de bœuf au couteau, Parmesan, tomates séchées et foie gras…plus gourmand que celui-là 😀 (sorry je ne l’ai pas pris en photo!).

Merci à toi pour cette parenthèse bien agréable.